princesse médiévale

à fond qu'il a été cassé

il assure sur ce coup Ahrun :D

j'iame mon asuran à moi

je te comprends

Oui, ce Asu là est nickel !! *__*

devrais l'envoyer à fuku pour refaire destiny ;)

Ohh oui oui oui !! C'est clair!!

Ce serait le meilleur des persos s'il était comme ça !! XDD

tro bien la suite et cool athrun et cagalli vont se marrier

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« Je suis assise entrain de broder avec ma tante, Romy et Milli. Je borde mon voile de mariée alors que mes 2 compagnes s’occupent de la robe et de ses décorations. Ma tante chantonne et Milli me parle de chose et d’autres. Nous sommes joyeuses et invoquons la vie de femme mariée avec nos rêves de petites filles et nos idées reçues par notre éducation. De temps à, autres, Romy arrête de chantonner pour nous répondre, et nous remettre sur la bonne voie ou nous ramener à la réalité.

« Milli, j’ai une proposition à te faire … » je commence d’une voix calme alors que j’arrête de broder pour changer de fil.

« Une proposition ?!? Tu comptes me demander quoi ? Mon avis sur la robe ? » Questionna-t-elle sur un ton amusé et taquin.

« Non, du tout… », Je commence avec un sourire, « Asuran m’a dit que je pouvais inviter quelqu’un, enfin plutôt proposer à quelqu’un de m’accompagner pour me sentir moins seule. Je me demandais si tu accepterais de m’accompagner. »

« Asuran ?!? » s’exclament-elles toutes les deux en même temps.

« Tu l’appelles Asuran » commença ma tante, «et bien, que c’est-il passé hier soir entre vous ? »

« Hum, te voilà familière avec un homme ! C’est nouveau et intéressant … » continue Milli sur le ton de la plaisanterie.

« Il n’y a rien entre nous ! Et il en s’est rien passé cette nuit … Il veut que j’utilise son nom c’est tout ! » Je réponds les joues en feu. Elles éclatent toutes les deux de rire devant ma réaction. Mon père entre dans la pièce le regard grave et met fin involontairement à nos rires.

« J’aimerais parler à Cagalli seul à seul, s’il vous plait Romy et Milli » demande-t-il gentiment et d’une voix fatiguée.

Elles se lèvent toutes les deux et se dirigent vers la porte. Je remarque le regard emplis de sous entendus de ma tante et le hochement de tête de mon père. Il vient s’asseoir en face de moi, devant le feu et fixe pendant quelque temps les flammes dansantes. Je reprends ma broderie un peu pour finir ma décoration, ensuite je range le tout et je dépose la robe et le matériel dans ma chambre avant de revenir près de mon père avec un peu de tisane pour nous deux. Je le sers et me rassies, le fixant intriguée. Il relève la tête et me fixe un peu. Je lui souris doucement.

« Tu avais déjà ce doux regard et ce petit sourire, la première fois que je t’ai vue … Différent de ta mère, peut-être celui de ton père au fond… » Commence-t-il. J’entrouvre la bouche. Mon père ?!? Mais c’est lui, pourquoi en parler ainsi, comme d’une tiers personne. Il me regarde et me sourit.

« J’aurais aimé sincèrement ne devoir jamais te le dire, mais je crois que tu mérites de savoir… » continu-t-il doucement.

« De quoi parles-tu Père ? » Je demande inquiète de ses propos étranges.

« Je veux que tu saches avant tout que J'ai été fier d'être ton père ! » déclare-t-il en me regardant droit dans les yeux, « tu es ma plus grande fierté »

Il fait une pause et me sourit tendrement. Je frisonne, espérant voir mal compris le sous entendu. Je risque de perdre tout ce que je connais, tout ce en quoi je croyais et surtout tous mes souvenirs d’enfance et ma famille. J’ai peur car jamais je n’aurais cru qu’un jour celui que je pensais être mon père me dirait ne pas l’être. J’ai la gorge sèche, les mains tremblantes et moites. Je tourne mon regard vide vers le feu.

« Je vais te raconter tout… » Commence-t-il d’une voix basse.


Flash Back / POV Uzumi
L’hiver avait été rude cette année-là. La neige avait commencé à tomber fin octobre pour en cesser que début mars. Le froid avait pas mal ralentit la vie du village et nous avait forcé à changer un peu nos habitudes. Mais surtout, il avait fait beaucoup de mort. Parmi eux ma douce épouse et mon fils. Elle avait accouché en décembre, malheureusement le froid avait eu raison de sa faiblesse et m’avait en même temps pris mon fils. Ma tristesse n’avait pas de fond et j’ai végété jusqu’au printemps. J’ai refusé de me remarier à la base, même si en tant que chef du village il me fallait un héritier ou une héritière.

Elle est arrivée dans le village vers la fin du mois de juin, quand les fleurs des cerisiers se transformaient en fruit. Elle était pieds nus et avait le regard vide, ses traits exprimés sa tristesse et sa fatigue extrême. Elle serait contre elle un petit bébé, âgé d’à peu près un mois. Nous l’avons accueilli avec réticence à la base. Je l’ai logée comme je vivais seule. Elle m’a raconté son histoire : comment son époux avait perdu la vie et comment sa belle famille l’avait chassée. Elle avait eu au mois de mai des jumeaux, un garçon et une fille. La famille de son défunt mari n’avait voulu que du garçon. Elle avait erré avec sa fille jusque notre village.

C’était une magnifique petite fille blonde avec des yeux ambres profond, elle souriait volontiers quand on lui parlait et ouvrait toujours de grands yeux curieux au moindre bruit. Une vraie petite princesse avec une douce voix et très calme. Je dois reconnaître qu’elle est devenue volcanique et garçon manqué en grandissant. C’est peut-être parce que je venais de perdre femme et enfant que j’ai accepté de la garder avec sa fille chez moi. Peut-être aussi parce qu’elle avait repris confiance en la vie et qu’avec le temps je me suis attachée à elle et au bébé, au point de considérer son enfant comme ma fille chérie, que je lui ai proposé le mariage. Elle a accepté après avoir réfléchit.

Ce jour-là, Cagalli, tu es devenue ma fille, tout comme Via, ta mère, était devenue mon épouse. Je ne l’ai jamais regretté loin de là, malgré ce qu’ on dit et pensé les habitants du village.

Simplement, ils n’ont jamais accepté qu’une étrangère et sa fille prennent une place importante dans le village. Ils n’ont pu concevoir que j’épouse une étrangère et que ce soit son enfant qui devienne l’héritière de ce village. C’est pour ça qu’ils te détestent tant, uniquement parce que tu n’es pas d’ici comme eux.
Mais quoique tu penses maintenant, tu es et tu resteras ma fille.

Fin du Flash Back/ fin POV Uzumi


Je reste sans voix, le regard vide et perdu rivé sur le feu dansant dans la cheminée. Ma tête est vide de pensées, je suis incapable de réfléchir. Mon père se lève et dépose un doux baiser sur mon front.

« Je vais te laisser réfléchir un peu seule » murmure-t-il avant de quitter la pièce. Je reste seule sans bouger … »

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je suis desoler pour cagalli etre detester de tout le monde a cause de sa.

j'aime beaucoup!!
bravo continue

merci ^-^

trooo bien
snif povre maman à caga

merci kmil-chan ^-^ (ma petite soeur cachée ;))

Cagalli va chercher son frère?!!
j'espère en tous cas
bonne chance pour la suite
j'attends cela avec impatience

ben cherhcer le frère ça av être dur :s vu qu'elle a aucune information sur lui ...

Ouais, mais normalement, elle va le trouver en se mariant avec asran? Son meilleur ami, j'ai nommé Kisa Yamato! XD Enfin, moi c'est ce que je pense... XD

c'est aps un secret je l'ai déjà dit *écroulée de rire*

Ben m'en rappelle pas alors -_-"

C’est super!
J’adore !!
Qui sait on a peut être une future écrivain sur le forum ^^

J’le déteste Yuna !! GRrrrrrr
Ce serait bien une petite baston entre Asran et Yuna LOL (enfin comme Yuna ne sait pas e battre ce ne serait pas vraiment une baston, ba oui comme Asran est un guerrier, un pain ds la face et hop Yuna KO héhéhé)
J’aime bien comment Asran remballe Yuan mdr

Pauvre Cagalli… mais elle sera bientôt débarrassée de ce ****** de Yuna et de ts ces ****** du village
Sinon c cool qu’elle retrouvera Kira ^^
Ils st trop mimi Aucaga ^-^

Bravo c'est magnifique !!
Bon courage pour la suite calli-chan ^^

Et bien quel enthousiasme ^^

d'abord merci d'avoir lu et commenter ^-^

Ensuite, j'essaie de devenir écrivain, du moins j'écris un roman (d'ailleurs lisibble sur le forum ;))

Une baston? je n'y avais pas pensé... j'avais pensé à un méchant coup de Yuna à cagalli et à une vengenace d'Asuran (ben quoi, pas touche à cagalli quand il est là ;)) Quoique Asuran contre Yuna moi je parie Asuran chéri ^^ Mais l'idée est bonne donc je t'en remerie d'avance et em eprmet de te la voler ;)

yes, j'en pourais d'envie, c'était pas prévu qu'il le remballe comme ça, ça m'est venu sur le moment en écrivant ^^

pour cagalli et kira on n'a le temps et pis oui, elle sera bientot débarrassée de ses boureau (vont se calmer d'ailleurs sinon y a pas que yuna qui sera assomé MDR)

merci pour les encouragements .. j'hésite un peu pour la suite du chapitre... mais ça devrait être fini d 'ici la fin de semaine ^^

Oki j’irais jeter un coup d’œil à ton roman (heu oui… j‘ai toujours pas lu ttes les fic ^^")

De rien, sers toi pour l’idée, je suis contente de t’en avoir donné une ^^
Mais sinon un méchant coup de Yuan et une vengeance d’Asran c’est une bonne idée je trouve ^^ En plus de la vengaence d’Asran une petite baston lol (ba ouais ça va pas durer longtemps, contre Asran Yuna va pas faire long feu XDDD)

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« Je suis repliée sur moi-même, les genoux ramenés sous mon menton et enserrés dans mes bras. Je ferme les yeux et essayer de calmer mes pleurs. J’enfuie ma tête dans mes jambes, et je reste prostrée dans ma position réconfortante, pleurant comme une petite fille perdue. Mon univers s’est écroulé cette après-midi, tout ce que je croyais connaître à été balayé en quelques minutes et je reste avec l’impression de n’avoir aucun passé, rien à quoi me raccroché.

Que me reste-t-il ?

Je cherche depuis des heures, seule dans ma chambre la réponse à cette question. Et depuis des heures la seule chose qui traverse mon esprit est que je n’ai plus rien. Tout ce que je croyais connaître sur mon père et ma mère était faux. Je pensais qu’ils avaient grandi tous les deux ici, au village ; qu’ils s’y étaient connu et marié comme j’aurais du épousé Yuna. Je croyais que mes parents étaient tombé amoureux et m’avait eu par amour. J’ai l’impression de n’avoir connu que le mensonge … l’impression que mes souvenirs, que tout ce qui faisait ma vie s’est fissuré et briser…

Je n’ai plus rien …

Je dépose mon front sur mes genoux et je ferme les yeux, essayant en vain de faire le vide dans ma tête. Je sens les larmes rouler de nouveau sur mes joues rouges, je ne les essuie plus. Je sers un peu plus fort mes genoux et me mords la lèvre inférieure. Tout ce que je désire pour l’instant c’est oublié ce que mon père d’adoption m’a raconté cet après-midi. Depuis quelques temps, plusieurs questions se bousculent dans ma tête ajoutant le doute et la peur à mon désespoir. J’ai beau essayé, je n’arrive pas à répondre aux nombreuses interrogations qui traversent mon esprit embrumé. Mon père adoptif m’aime-t-il ? Dois-je considérer mes souvenirs comme faux ? Ai-je vraiment perdu ma famille ? Qui est mon vrai père ? Qui suis-je réellement ?

La porte de ma chambre s’ouvre doucement mais je ne relève pas la tête. Je n’ai pas envie ni le courage d’affronter la personne qui vient d’entrer dans la pièce. Je continue à sangloter repliée sur moi-même. J’entends la personne s’approcher du lit et s’asseoir à mes côtés. Je me tasse un peu plus sur moi-même et j’essaie de contrôler mes pleurs. Je sens un bras m’encercler et m’attirer contre un corps d’homme. Je relève la tête et croisse un regard émeraude tendre. Je me déplie et je viens me blottir contre son torse, m’accrochant à sa tunique. Il passe ses bras autour de moi et caresse mon dos de manière apaisante. Ses lèvres se posent furtivement sur mon front.

« Comment te sens-tu ? » me demande-t-il.

« Je… je ne … sais pas… » Je balbutie entre mes pleurs.

« Je vois… Ton père m’a raconté, pour ta mère et toi… Enfin, il m’a expliqué comme il l’a fait avec toi cet après-midi… » M’explique-t-il d’une voix douce.

Je me détache un peu de lui pour le regarder à travers mes larmes. Et maintenant ? Désire-t-il toujours m’épouser ou ne suis-je plus acceptable ? Il m’offre un tendre sourire avant d’essuyer du bout des doigts mes larmes. Ensuite il penche la tête vers moi et dépose ses douces lèvres sur les miennes, je ferme les yeux et je réponds timidement à son chaste baiser. Quand il y met fin, il m’attire contre lui et me serre contre sa poitrine pour me consoler. Au bout d’un certain temps, mes pleurs se calment et diminuent. Je finis par arrêter de sangloter, mais je reste blottie contre lui, le souffle un peu court suite à mes larmes.

« Désires-tu en parler ? » Me demande-t-il gentiment.

« Je ne sais pas … J’ai tout perdu … » Je murmure le regard un peu vide, « je ne suis plus personne… »

« Tu es toujours toi, Cagalli » Susurre-t-il, le nez enfoui dans mes cheveux.

« Vraiment ?!? Mon père n’est pas mon père. Je ne suis pas née ici ; ceux que je prenais pour ma famille sont des étrangers ; mes souvenirs sont sûrement faux et ce que je croyais savoir n’est que mensonge que me reste-t-il ? » je déclare en relevant la tête pour le regarder. Il me caresse doucement la joue et m’offre un sourire rassurant.
« En es-tu bien sure ? » m’interroge-t-il.

« Je… pourquoi cette… ? Je ne sais plus … en fait, je… » Je réponds une phrase qui n’a pas de sens, désorientée par sa question.

« Je ne partage pas ton opinion, en fait … » il me répond et m’attire de nouveau contre lui. « D’abord, il te reste beaucoup de choses même si je peux concevoir que tu ressentes une perte. Tu es toujours toi, Cagalli, cela ne change pas : tu reste fidèle à toi-même et tu gardes tout ce qui fait ton charme et ta personne… Ensuite, je ne pense sincèrement pas que tu as perdu l’amour de ta famille, même si elle est adoptive ! Tu as grandi ici parmi eux et ils t’ont élevée comme une des leur. Ton père t’aime, sinon pourquoi t’aurais-t-il gardé près de lui ? Pourquoi t’aurait-il considérée comme sa famille et déclarée comme telle ? Je suis persuadé qu’il t’aime énormément et que quoique tu en penses pour lui tu es sa fille adorée et chérie … »

Je ferme les yeux et je l’écoute parler en silence, rassurée par sa main qui caresse mon dos et par son corps pressé contre le mien. Il a raison, au plus profond de moi je le sais… alors pourquoi avoir eu ces doutes et ces craintes ? Si je suis sure de l’amour de mon père, pourquoi avoir tremblée comme je l’ai fait toute la journée ? j’ai mal d’avoir vécue dans l’ignorance aussi longtemps … j’aimerais tellement ne pas savoir, n’avoir jamais entendu parler de cette histoire !

« Tes souvenirs ne sont pas faux, tu sais … tu les as vécus pleinement avec ta famille. Ils ne peuvent pas disparaître et ils font partis de toi, de ta personne. » Termine-t-il.

« Je crois que je le savais, mais … j’avais peur et mal. » J’avoue pitoyablement, toujours blottie contre lui et accrochée à sa tunique.

« Je crois que je comprends … ou du moins j’essaie. » Murmure-t-il en embrassant mon front gentiment. Je souris doucement et me détache de lui pour embrasser légèrement sa joue. Il me rend mon sourire.

« Merci … » Je murmure avant de me blottir à nouveau contre lui, « tu vas rester ici, cette nuit ? » Je sais que ma question est déplacée mais je ne veux pas dormir seule, je ne m’en sens pas capable.

« Si tu le veux ma Douce oui » me répond-t-il après un petit temps de silence. »

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tro bo
et l'histoire de cagalli :(
magnifique jvoi ke sa a dire

merci stellar-chan ^^

c'est vrai que c'est triste l'histoire de caga T____T

Oo asran ki prends soin d'elle,c'est tout chou ca!!!^^


ils vont dormir ensemble?tu vas faire un lemon?

en tout ca bravoo j'adore ^^

nope pas de lemon dans celle-ci de fic et ce n'est que la troisième fois fois en trois jours qu'ils dorment ensemble MDR

merci ma lili-chan