Nuit de noces

Voilà, mesdemoiselles et messieurs, vous vouliez du asucaga, alors vous êtes servis. Pour le moment je n'ai écris que les trois premiers chapitres, mais je ne vous mets que le début, au cas où vous trouviez ça gonflant.
Même si j'espère pas, je préfère être prudente.

Bonne lecture !!

Auteur : Tidoo
Titre : Nuit de noces
Paring : Asran x Cagalli
Rating : Pour le moment PG, mais par la suite, ça va chauffer et monter en M...
Résumé : Cagalli s'offre une escapade à la veille de son maraige avec Yuna. Elle est prête à se sécrifier pour le bien de son pays, mais pas à se laisser aller dans les bras de n'importe qui. Pour sa première fois, elle veut quelqu'un qu'elle aime... Devinez qui !

Disclamer : Les persos ne sont pas à moi, je ne fais que les emprunter pour réctifier un peu les choses ^^




Yzak et Dearka avançaient tranquillement dans le couloir. Bien que chargés de la protection de leur ami, ils n’avaient pas de réellement inquiétude sur sa sécurité.

Asran était quant à lui perdu dans ses pensées. Son entretien avec le président Durandal n’avait pas été aussi concluant qu’il l’avait espéré et il ne savait toujours pas à quoi s’en tenir.

Il avait rejoint les colonies pour aider ZAFT à éviter une nouvelle guerre, mais après la chute de Junius 7, le conflit semblait inéluctable. Pourtant, il devait bien y avoir une solution pour calmer les esprits !

Dearka remarqua le premier l’air renfrogné du pilote et essaya de détendre l’atmosphère avec une plaisanterie à propos de sa mauvaise mine.

« T’as pas l’air bien, peut-être que tu devrais retourner à Orb prendre un peu le soleil… Je suis sûr que la princesse accepterait un peu de compagnie à la plage ! »

Il n’avait pas voulu être blessant, mais il avait appuyé là où ça faisait le plus mal. Orb, Cagalli et la plage.

Asran se souvint immédiatement de la première fois qu’ils s’étaient rencontrés, perdus dans une île de l’océan Indien… Il l’avait d’abord prise pour un garçon ! Quel imbécile !

Asran secoua la tête, comme pour chasser ses souvenirs. C’était loin maintenant et il ne servait plus à rien de ressasser le passé. Il continua d’avancer avec ses deux amis et atteignit rapidement la porte de son appartement. Ils rentrèrent tous les trois, mais s’arrêtèrent presque immédiatement.

Yzak sortit son arme et fit le tour de la pièce en silence avant de faire signe aux autres de le suivre.

La porte n’avait pas été forcée, mais il était clair que quelqu’un était rentré pendant leur absence. Ils se séparèrent, chacun prenant une pièce à examiner.

Tout était en place, et rien ne semblait avoir été touché. Le seul signe d’une présence extérieure venait d’un sac de voyage entrouvert dans la chambre. Asran s’approcha lentement, mais le sac ne contenait rien d’important. Quelques vêtements, un livre, et un curieux pendentif en bois qui lui parut familier. Il contempla l’objet de plus près et d’un coup son cœur s’arrêta. C’était une amulette d’Hauméa, identique à celle qu’il portait autour du coup.

Sans réfléchir, il se précipita vers le salon pour savoir si ses amis avaient trouvé quelque chose, mais il n’obtint que des haussements d’épaules. Qui que ce fut qui était rentré chez lui, il n’était clairement plus là et Asran en profita pour rassurer ses compagnons. Maintenant il pouvait se débrouiller seul et ne craignait plus rien. Ils pouvaient rentrer sans se soucier de lui. Yzak objecta un moment ne voulant pas prendre de risque, mais Asran fut suffisamment ferme pour le convaincre.

Pourtant il n’était pas tranquille. Pourquoi avoir laissé ce sac ici ? Et à qui pouvait-il appartenir ? Il ne fit aucun commentaire là-dessus à ses deux compagnons, et se contenta de les remercier en promettant d’être prudent.

Une fois débarrassé d’eux, il attendit dix minutes et redescendit vers l’entrée.

Il voulut interroger le gardien pour savoir qui était venu chez lui, mais il n’en eut pas besoin. Il comprit tout de suite.

Assise dans un des fauteuils du hall, les yeux perdus dans le vague, elle était là. Il ne pouvait pas voir son visage, mais il la reconnaissait tout de même. Pourtant, elle ne ressemblait en rien à ce à quoi il était habitué. Ses cheveux étaient bien coiffés en deux petites couettes symétriques, tenues par des élastiques à fleurs et elle portait même une jupe longue, vert clair, lui arrivant aux chevilles. Mais il remarqua la petite pierre rouge à sa main gauche ; elle portait toujours la bague qu’il lui avait offerte quelques semaines plus tôt.

Il s’approcha doucement et sentit son cœur s’accélérer à chaque pas. Sa tenue n’était pas le seul changement notable. Elle avait aussi maigri, ses yeux étaient gonflés, comme si elle avait pleuré et vides de leur ancien éclat. Et elle était tendue. Quelque chose n’allait pas. Mais c’était finalement logique. Elle n’avait aucune raison d’être ici. Il resta un moment à l’observer avant qu’elle ne remarque sa présence et quand enfin elle daigna tourner la tête vers lui, elle sursauta.

Il lui sourit, attendant une explication qui ne venait pas. A la place, elle rougit et détourna les yeux. Elle se sentait tellement ridicule. Comment avait-elle pu penser qu’elle en serait capable ?

Pourtant, au fond d’elle, elle était contente. Au moins, elle l’avait revu. Elle ne pourrait peut-être pas aller au bout de son idée, mais elle pourrait passer un peu de temps avec lui.

Elle se força à le regarder et découvrit qu’il portait l’uniforme de ZAFT. Alors il s’était réengagé… Elle ne sut pas trop quoi en penser, mais évita de commenter. Elle n’était pas là pour se disputer avec lui. En plus, dans sa situation, elle aurait été mal placée pour critiquer ses choix.

« Hé ! T’as l’air en forme. » Elle essaya de parler sur un ton détaché, mais sa voix trahissait ses angoisses.

Il pencha un peu la tête et répondit simplement : « J’aimerai pouvoir te dire la même chose… »

Une fois de plus, elle rougit et baissa les yeux. Mais il ne lui laissa pas le temps de réfléchir et lui prit la main pour la mettre debout en face de lui.

Comme elle refusait toujours de le regarder, il lui souleva le menton et lui murmura à l’oreille : « Je suis content de te voir. » Il ne fit aucun commentaire sur sa tenue ni sur sa coiffure et se contenta de lui sourire.

Cagalli ne savait pas quoi lui dire. Elle s’était préparé tout un discours dans sa tête pour lui présenter la situation et lui expliquer le pourquoi de sa demande, mais maintenant qu’il se tenait en face d’elle, elle ne sentait plus la force de le faire. Elle était terrorisée. Comment allait-il prendre la nouvelle ? Il allait forcément lui en vouloir… Et du coup, il refuserait de l’aider. Alors à quoi bon aborder un sujet aussi délicat ?
Elle bredouilla laborieusement quelques mots, sur le fait qu’elle devait lui parler, mais rien de bien intelligible.

Asran la serra dans ses bras, se baignant dans son parfum. Il n’avait pas remarqué combien elle lui manquait jusqu’à ce qu’elle soit là, en face de lui.

Bien sûr, la situation était délicate, ils avaient chacun leur bataille à mener, mais il se sentait tellement mieux avec elle à ses cotés. Il ne cherchait pas comprendre pourquoi elle était là, tout ce qui comptait pour lui c’était sa présence contre lui, dans ses bras. La chaleur de son corps se répandait à travers le tissu de son uniforme et le pilote comprit qu’il était dans son intérêt de ne pas rester dans cette position.

Cagalli éveillait trop de choses en lui pour se permettre de se laisser aller ainsi.

Il devait rester maître de lui-même et pour cela, il fallait qu'il s’éloigne un peu de la princesse. Il prit une profonde inspiration pour se calmer et proposa gentiment : « Tu veux qu’on aille prendre un café quelque part ? Tu me raconteras ce que tu fais ici. »

Cagalli le dévisagea un instant puis secoua la tête.

« Non, je ne dois pas me faire voir. Si on découvrait que je suis ici… » Elle n’eut pas besoin de finir sa phrase. La peur dans ses yeux était clairement visible. A la place, il lui suggéra de monter chez lui pour boire quelque chose, ce qu’elle accepta immédiatement.

moi j'ia lu les 3 chpaitre et pour faire court: J AIME

J'aimmmeuuuu aussi..Je voudrais la suite..^^
Au fait, je l'avais pas déjà lue sur fanficlub ? XD

Bon ben si ça vous plait, je vais mettre la suite. Mais effectivement, elle est aussi sur fanficlub et ff.net, donc c'est possible que vous l'ayez déjà lu...



Assise sur un tabouret haut, Cagalli jouait avec sa bague sans s’en rendre compte. Asran lui tournait le dos, préparant deux tasses de café. Elle ne savait par où commencer et il ne faisait rien pour l’aider. Il restait silencieux, se refusant à poser la moindre question.

Il appréciait le calme de cet appartement, et savourait la simple compagnie de cette jeune fille qu’il aimait tant. Il ne voulait pas tout gâcher en la harcelant. Elle parlerait quand elle se sentirait prête.

Le problème était qu’elle était terrifiée. Le silence l’accablait et elle se sentait oppressée dans ce salon qu’elle ne connaissait pas. En plus, elle n’avait pas pu se débarrasser de ses vêtements ridicules et elle avait l’impression d’être grotesque. Non pas qu’elle attache tellement d’importance à son apparence… Dans un mouvement de colère, elle arracha ses élastiques et libéra ses cheveux sauvagement.

Asran eut un sourire amusé en la voyant batailler avec sa coiffure et lui tendit sa tasse en se retenant de rire. Il comprit à sa mine renfrognée que tout commentaire serait mal venu. Elle pesta en s’ébouriffant un peu plus et finit par poser les deux élastiques sur le comptoir avec un air mauvais. Si ses yeux étaient équipés pour, elle les aurait brûlés d’un seul regard.

Asran ne put se retenir de rire un peu devant son attitude, ce qui lui valut un coup d’œil assassin de la part de la princesse. Puis elle soupira et but une gorgée de café.

Brisant enfin le silence, Asran demanda : « Si tu détestes cette tenue, pourquoi la porter ? »

Cagalli reposa sa tasse et tourna la tête. « C’est la mère de Seiran… Elle veut à tout prix me… » Elle laissa filer un soupire de frustration et serra les poings. Elle devait lui parler. Elle était venue pour ça.

« Je la déteste. Une semaine que je suis enfermée chez elle, à subir ses cours de conduite et de savoir-vivre. Elle m’oblige à porter des robes ridicules, à marcher en me tenant bien droite et toutes ces conneries… » Elle imita un peu les mouvements précieux qu’on lui avait appris.

Cette fois Asran rit franchement devant son comportement plutôt curieux.

« Ca va ! C’est pas drôle ! » Cagalli n’aimait du tout le voir se moquer d’elle ainsi. Elle essaya de lui mettre un coup de pied sous la table, mais ne réussit qu’à se prendre les pieds dans sa jupe, ce qui la fit encore plus pester.

Il eut du mal à se retenir de rire, mais évita d’en rajouter. Il se contenta de reformuler sa question.

« Je ne comprends pas pourquoi tu fais ça, si ça t’agasse autant. Je ne t’ai jamais vu aussi éteinte, il y a un problème ? » Il parlait d’un ton posé et mesuré, mais il était sincèrement inquiet. Elle avait vraiment mauvaise mine et même s’il s’amusait de la voir s’énerver, il la connaissait suffisamment pour savoir qu’il se passait quelque chose de grave.

Cagalli soupira encore avant de répondre. « C’est comme ça que doit se comporter une princesse… »

Comme elle baissait la tête, il lui prit la main et la força à le regarder.

« Ton attitude n’a jamais posé problème avant, alors pourquoi t’en soucier ? »

Le simple contact de ses doigts suffisait à la rassurer. Il était là, avec elle, il la protègait. Seulement, demain, il ne serait plus là. Doucement elle retira ses doigts et il vit les larmes brillées entre ses cils. Elle ouvrit la bouche, mais aucun son ne sortit. Elle n’arrivait pas à le lui dire.

Asran sentit un coup de poignard dans le ventre à la voir ainsi. Cagalli qui était toujours si forte et si courageuse était maintenant en train de lutter contre elle-même pour ne pas pleurer. La situation devait vraiment être grave.

Il se leva et la prit dans ses bras, enroulant naturellement un bras autour de sa taille et l’autre sur ses épaules. Il lui caressait les cheveux en murmurant des paroles rassurantes, mais rien ne semblait la calmer. Quand il lui promit d’être là, elle le poussa brutalement et criant : « NON ! Justement ! Tu n’es plus là, tu ne peux plus être là ! Tu… je… » Elle le regardait, complètement pétrifiée.

Il ne comprenait pas ce qu’il avait dit pour la mettre dans un tel état. Certes il était parti, l’avait abandonnée à Orb quand la scène politique se dégradait, mais c’était pour l’aider, à sa manière. Elle aurait dû le comprendre et non pas le rejeter. Il essaya de lui parler mais elle secoua la tête, montrant qu’elle ne l’écoutait pas.

« C’est pour le bien d’Orb, tu comprends. Je n’ai pas le choix… je n’ai plus le droit de te voir. Il a dit que ce n’était pas possible de continuer comme ça et… pour le bien d’Orb, il n’y a pas d’autre solution. Je dois le faire, pour mon pays, pour mon père, pour sauver la paix. C’est ce qu’ils veulent tous… et je… je… »

Elle pleurais vraiment cette fois et il était complètement désemparé.

« Mais de quoi tu parles ? Qu’est-ce que tu dois faire ? Et pourquoi on ne pourrait plus se voir ? »

« Tu es un coordinateur ! Ils ne l’accepteront jamais ! Toi et moi, c’est impossible. Alors il faut que… il faut que je… » les mots ne sortaient pas.

« Que quoi, Cagalli ? Qu’est-ce qui se passe ? » Il était toujours en face d’elle, et commençait de plus en plus à paniquer. Son cœur battait si fort qu’il résonnait dans ses tympans, et soudain, ce fut le silence.

« Je vais me marier. Avec Yuna. » Les mots étaient sortis avec un tel dégoût qu’il restait sous le choc.

Cagalli gardait les yeux rivés au sol, incapable de lui faire face. Elle imaginait la déception dans son regard et n’avait pas la force de la voir.

Asran n’en revenait pas. Il savait qu’elle était fiancée au fils de l’émir, mais ne pensait pas qu’elle l’épouserait. Même s’ils n’en avaient jamais vraiment parlé, il avait toujours espéré qu’elle le choisirait, lui.

Mais c’était impossible. Il comprenait ce qu’elle lui avait dit plus tôt. Il était un coordinateur et elle une naturelle, chef de la nation d’Orb. Leur union était impossible. Même si son pays tolérait les gens comme lui, ils n’accepteraient pas que leur princesse soit souillée par une telle alliance.

A tâtons, il chercha son siège et se rassit, toujours en silence. Qu’avait-il à ajouter ? Elle allait en épouser un autre. Passer sa vie avec ce type. Prendre ensemble les décisions pour l’avenir de leur pays.

Puis la réalisation le frappa. Ce n’était pas qu’un mariage arrangé pour lui. Il voulait certainement le pouvoir, mais il la voulait aussi.

Combien de fois il l’avait surpris à la regarder comme une proie ? Yula la voulait et il la voulait entièrement. Elle ne pourrait pas refuser, c’était son devoir d’épouse. Le peuple d’Orb attendrait un héritier !

Il frissonna à cette idée. Cet homme méprisable allait non seulement lui voler sa précieuse Cagalli, mais en plus la faire sienne ? C’était impensable.
Mais il ne pouvait rien faire pour s’y opposer.

Asran releva les yeux et se concentra sur la jeune femme en face de lui. Elle était visiblement épuisée et vidée.

Il avala péniblement la fin de son café et s’approcha d’elle. Il lui parla doucement, pour ne pas l’effrayer et demanda : « Quand a lieu la cérémonie ? »

Cagalli s’essuya les yeux et répondit simplement : « Après demain. »

Asran eut un sourire triste et la reprit dans ses bras. « C’est gentil d’être venue jusqu’ici pour me prévenir. J’imagine que tu as de tonnes de choses à faire. Alors je ne vais pas te retenir plus longtemps. » Il relâcha son étreinte et fut une fois de plus bouleversé par la tristesse dans ses yeux.

« Je… » Cagalli rougit et recula un peu. « En fait, je ne repars que demain matin… »

« Oh… » Asran était plus que surpris par cet aveu. Pourquoi restait-elle aussi longtemps ? C’était déjà très gentil à elle de s’être déplacée pour lui expliquer la situation, mais elle n’avait pas besoin de s’attarder toute une nuit. A moins que… Il devait y avoir autre chose.

« Pourquoi ? » Il ne voulait pas paraître brusque, mais il ne voyait pas l’intérêt pour elle de passer la nuit sur Plant, à la veille de son mariage.

Cagalli parut un peu surprise et mal à l’aise. Puis elle ferma les yeux et ressembla son courage. Elle n’avait rien à perdre à le lui demander.
« En fait, je suis venue pour un service… »

« Dis-moi. Si je peux t’aider, je le ferai. » Elle plongea son regard dans le sien, cherchant à deviner sa réaction. Et elle rougit encore plus.

« C’est un peu délicat… »

m'étonnerais swacool tu n'y va plus sur mon forum

tidoo: c'est le lemon qu'elle te demande mdr

Si, si, je l'ai bel et bien lue cette fic' !!! >_____<
J'me souviens de cette histoire ! ^_^

pas sur mon forum je t'avais juste passer le lien anais

Je ss sûre de l'avoir lue sur ton fo'..Oo

impossible tu n'y viens plus même si elle ests ur le forum je t'avais donné le lien FF.net parce que à l'époque tidoo n'était pas membre de mon forum

oohhh troooop stylééé =O
a quannd la suite =D

(dsl jcass tou xD)

Je viens de tout lire et franchement je peux dire que j'adore

Tu as bcp de talent comme ma oneechan ^___^

c'est cool de lire tes fics ^^

Bonne continuation,j'ai hate de lire la suite ^^

kawai !

isuzu-san a écrit:

Je viens de tout lire et franchement je peux dire que j'adore

Tu as bcp de talent comme ma oneechan ^___^

c'est cool de lire tes fics ^^

Bonne continuation,j'ai hate de lire la suite ^^

logique c'est ma grande soeur et mon double astrale LoL (qu'est-ce que je epux dire comem connerie moi)

tiens ma grande soeur tu veux bien que je te crées un fnaclub? Moi suis fna de toi (surtout de tes fics asuca ^^)

Mais non c'est pas une connerie voyons ^^

Vive tidoo-sama ^^

Un fan club ? Rien que pour moi ? Woa !!! chuis émue, je sais pas quoi dire...
Pourtant, mes fics asucaga sont très loin d'être les mieux... enfin, c'est très gentil quand même. J'essaierai d'etre à la hauteur !
(le talent c'est de famille, pas vrai ptite soeur ?)

oui c'est de famille grand soeur ;)

je t'en crées un ici et sur mon forum alors ^^

lien: https://asrancagalli.actifforum.com/fan-club-f30/fanclub-tidoo-1-membre-t860.htm#53475


pour mon fo': http://fanficlub.niceboard.com/fanclub-tidoo-f33/fanclub-tidoo-1-membre-t216.htm#4191

Oo j'adore vraiment ate de lire le chapitre suivant
ah j'adore >>>///<<<

Voila la suite. Attention, c'est surtoutun lemon, donc venez pas vous plaindre si vous êtes choqués, cest clairement à caractère sexuel !! Si vous n'aimez pas ce genre de chose, attendez tranquillement le chapitre 3, vous n'aurez rien perd de l'histoire.

Et sinon, bonne lecture !!



Chapitre 2
Cagalli se libéra de son étreinte et attrapa son sac de voyage resté vers la salle de bain. Elle se tourna vers Asran et lui demanda, les joues en feu de bien vouloir l'attendre pendant qu'elle se changeait. Le jeune pilote parut surpris mais ne discuta pas. Elle lui avait clairement dit qu'elle détestait ses vêtements donc il était normal qu'elle préfère se mettre à l'aise pour la soirée qu'ils allaient passer ensemble. D'un autre coté, il aurait bien voulu la garder près de lui autant que possible et passer directement à la résolution de son problème.
Asran se gifla mentalement à cette idée. A trop fréquenter Dearka, il devenait aussi pervers que lui. D'un autre coté, il ne pouvait pas nier qu'il y avait beaucoup pensé, avant même qu'elle aborde le sujet ce soir.
Combien de fois avait-il rêvé de passer la nuit avec elle ? Moins d'un mois après leur rencontre, il avait arrêté de compter, l'image de cette jeune fille déterminée et fière hantant ses rêves plus souvent que nécessaire.
Quand il l'avait retrouvé à bord de l'Archangel, ça avait été une vraie torture de la voir toujours collée à Kira. Jusqu'à ce qu'elle lui apprenne la vraie nature de leurs rapports. Mais ensuite, les choses avaient pris du temps.
Dès qu’il avait eu son poste en tant que garde du corps, il avait compris que leur histoire ne serait pas facile. Personne ne devait connaître sa véritable identité, et surtout, personne ne devait savoir quel genre de relation il entretenait avec la princesse.
Mais il ne pouvait pas s’empêcher d’espérer. Les sentiments qu’il avait pour elle étaient bien présents et dès qu’elle le frôlait, tous ses désirs refaisaient surface, voulant toujours plus, de ses lèvres, de sa peau. Alors maintenant qu’il avait enfin l’occasion de passer à l’acte, il n’allait pas laisser passer sa chance.
Pourtant, il se devait d'être patient. Il avait toute la nuit devant lui pour la découvrir et l'apprendre par coeur, puisque deux jours plus tard, elle serait à un autre.
Il soupira. C'était peut-être pire finalement. S'il n'y avait jamais goûté, il ne saurait pas à coté de quoi il passait. Alors que là, il l'aurait pour lui toute une nuit, mais après...
Pour se changer les idées et éviter de broyer du noir, Asran attrapa un magazine et s'allongea pour lire tranquille. Ce n'était pas le moment de se laisser abattre.
Cagalli se regarda une dernière fois dans le miroir avant de sortir. Elle se sentait encore plus ridicule dans cette robe, mais pourtant, sans pouvoir s’expliquer pourquoi, elle avait tenu à l’emporter et la mettre pour lui. Un peu comme une revanche sur Seiran et les autres...
Elle prit une profonde inspiration et appuya sur la poignée. Il était toujours là, assis sur son lit, en train de feuilleter un journal et ne semblait pas l’avoir entendue.
Puis il leva les yeux vers elle et eut le souffle coupé.
Elle portait sa robe de mariée, en satin blanc, avec une simple bande bleue sur le coté, rappelant les couleurs de sa Nation. Son voile était sobre, seulement ourlé d’un peu de duvet, assorti à celui qu’elle avait dans les cheveux. Le bustier soulignait parfaitement sa poitrine, mettant en valeur ses formes harmonieuses, sans être trop révélateur et la jupe moulait ses hanches, lui donnant une silhouette de nymphe. Sa nymphe.
Retrouvant l’usage de parole, Asran murmura simplement en se levant : « Tu es magnifique. » avant de lui prendre la main pour l’attirer contre lui.
Cagalli rougit et bredouilla ses remerciements.
« Mon père l’avait choisie… » Elle n’avait pas d’explication à lui donner, mais elle éprouvait tout de même le besoin de se justifier. Elle se sentait un peu idiote d’être aussi apprêtée, mais d’un autre coté, elle voulait qu’il la voie ainsi. Elle aurait porté cette même robe si elle l’avait épousé lui, plutôt que l’autre abruti. Et quelque part, elle voulait lui plaire.
« Il avait beaucoup de goût… elle te va à ravir… » Et doucement, il souleva son voile et déposa un baiser au coin de ses lèvres. Puis il la prit un peu plus dans ses bras et remonta une main vers son épaule, glissant sur sa nuque, pendant que l’autre enserrait sa taille. Il se pencha un peu et lui chuchota à l’oreille :
« Pourtant, je n’ai aucun regret à devoir te l’enlever… »
Il commença à l’embrasser plus intensément, et elle se sentait fondre, complètement submergée par sa bouche sur la sienne, sa langue jouant malicieusement sur ses lèvres. Et comme pour prouver son point, il dénoua les lacets de son bustier. Cagalli rougit un peu plus, mais n'objecta pas, se laissant enivrée par son baiser.
Une fois les rubans défaits, Asran s'occupa de son voile, qu'il retira complètement, le laissant tombé sur le sol, dans un bruissement de tulle. Elle ressemblait vraiment à un ange ainsi. Il perdit ses doigts dans ses mèches blondes et il ne put résister à l'envie de l'embrasser encore.
Il commença doucement, d'abord la joue, puis il dériva vers son oreille et lui murmura encore combien elle était belle avant de se noyer dans son cou, s’immerger jusqu'à l'asphyxie dans son odeur. Il resserra son étreinte, profitant de la douceur de sa peau contre sa paume, et goûtant sa nuque du bout des lèvres.
Cagalli se laissait aller sans retenue, pouvant enfin céder à tous ses désirs profonds. Du bout des doigts, elle découvrait les épaules de son partenaire, avant de remonter vers son col, qu'elle trouva injustement fermé. Elle recula un peu et Asran prit peur, pensant qu'il l'avait déjà effrayée en allant trop vite. Mais son regard le rassura. Ses yeux brillaient aussi intensément que les siens et il y lisait le même désir, mêlé d'appréhension.
Il semblait la questionner en silence, vérifiant qu'il avait bien son accord pour continuer ses assauts. Cagalli sourit, et répondit : « Alors je vais moi-aussi devoir te débarrasser de cet horrible uniforme. »
Elle ne le quitta pas des yeux pendant qu'elle défaisait une à une les agrafes qui tenaient sa veste en place, plongeant dans ses iris de jade qui l'envoûtaient. Elle ne rougissait plus, la gêne étant largement dépassée par l'envie grandissante qui lui brûlait le ventre. Il la tenait encore contre lui, incapable de s’en séparer ou de détourner les yeux et la chaleur de son corps ne faisait qu'attiser un plus le brasier entre ses jambes. Son coeur battait à tout rompre, et quand elle lui retira enfin sa veste, elle sentit sa respiration se bloquer.
C'était bien réel, pas simplement un rêve. Ses mains descendaient le long de ses bras, découvrant un premier contact avec sa peau, comme il portait un simple t-shirt à manches courtes sous son uniforme. Elle s'arrêta au niveau de ses mains, qu'il serra dans les siennes avant de tout relâcher et de l'attraper brusquement par les genoux et les épaules pour la soulever de terre.
Cagalli cria, surprise par ce geste et éclata de rire quand il la porta jusqu'à son lit. Asran fut étonné de la trouver aussi légère, et profita qu'elle enroula ses bras autour de son cou pour lui voler un baiser sans perdre l'équilibre.
Il l’allongea délicatement sur le matelas, prenant soin de ne pas froisser sa robe et il s’installa à coté d’elle, sur le flan pour profiter au mieux du spectacle qu’elle offrait avait de reprendre ses découvertes.
Elle était dans ses bras, essoufflée et souriante et il la trouvait encore plus désirable que jamais. Il s’immergeait dans son parfum, respirant son odeur sucrée et goûtant sa nuque. Chaque baiser était une promesse de ce qui allait suivre et elle le laissait faire avec beaucoup plus de plaisir que de peur.
Bien sûr, elle avait craignait un peu pour la suite, mais elle avait confiance en lui. C’était son choix. Pas seulement en cet instant précis, mais de façon beaucoup plus général.
Plusieurs fois elle avait espéré qu’il la rejoindrait dans sa chambre, ou dans son lit quand ils partageaient la même cabine, mais il avait toujours gardé ses distances, si bien qu’elle avait des doutes sur ses chances à l’attirer de cette façon. Elle n’y connaissait pas grand chose, ayant élevée dans un milieu plutôt masculin, personne dans son entourage n’avait pris la peine de lui expliquer ces choses-là. Mais elle savait ce qu’elle ressentait. La chaleur dans son ventre quand il plongeait ses yeux dans les siens. Les tiraillements entre ses jambes quand il la prenait dans ses bras et l’embrassait…
Mais ce n’était rien en comparaison de ce qui se passait dans son corps maintenant. Asran continuait lentement son exploration, ses mains se promenant librement de ses épaules à ses hanches, et il la sentait frémir sous ses doigts comme il descendait de plus en plus.

Cagalli gémit un peu quand il quitta à nouveau ses lèvres pour se redresser. Il lui sourit et laissa sa main glisser le long de sa cuisse, ramenant sa jambe vers lui, puis, délicatement, il remonta son jupon et attrapa sa cheville pour lui ôter son escarpin. Il renouvela le geste de l’autre coté, plus lentement encore, s’appliquant à caresser chaque centimètre de soie qu’il découvrait. Ses jambes longues et fines, ainsi couvertes le motivait au plus au point. Il profita de sa position assise pour enlever lui-aussi ses bottes et s’amusait de la mine de sa princesse qui n’aimait pas être délaissée. Une fois débarrassé de ses chaussures, il reprit son exploration, s’emparant de son mollet et portant son genou à ses lèvres.
Cagalli frissonna. Ses bas étaient trop fins pour atténuer la sensation, mais suffisamment présent pour lui donner l’impression inverse. Elle sentait son souffle sur sa peau comme il remontait dangereusement vers ses cuisses. Sa jupe ne la couvrait presque plus et elle rougit quand Asran laissa ses lèvres courir de plus en plus haut sur l’intérieur de sa jambe. Du bout des dents, il attrapa la bordure de son bas et le fit glisser lentement vers la cheville, en prenant garde à ne pas l’abîmer, puis repartit de l’autre coté, exactement de la même façon, d’abord une ascension de baisers avant de redescendre avec le bout de tissu encombrant.
Asran sourit, visiblement satisfait de l’effet qu’il avait sur elle. Sa respiration était saccadée, ses joues et ses lèvres rougies par l’envie, sans compter ses yeux, devenus presque noirs par anticipation. Elle s’appuya sur un coude et vint à sa rencontre, l’attirant un peu plus contre elle avant de tirer sur son t-shirt pour découvrir elle-aussi son corps.
Elle l’avait déjà vu torse nu, mais jamais dans ce genre de circonstance. Ça avait toujours été à cause de blessures à soigner ou par accident quand elle était rentrée un peu vite dans sa chambre. Mais cette fois, elle pouvait le contempler autant qu’elle le souhaitait et elle n’était pas déçut. Du bout des doigts, elle dessina la ligne parfaite de ses muscles, partant des épaules et glissant vers son ventre. Sa peau était douce et elle ne résista à l’envie de la goûter. Elle le fit rouler un peu sur le coté, et pendant qu’il finissait de défaire sa robe, elle parcourut sa gorge de baisers, suivant le creux du sternum pour s’arrêter à son nombril.
En se redressant Cagalli sentit son bustier lâcher et elle se retrouva à moitié nue au-dessus de lui. Délicatement, Asran la souleva et retira le vêtement, découvrant ses seins, puis son ventre et enfin, ses hanches. D’un mouvement sec, la robe tomba à terre, ne laissant à la princesse qu’une petite culotte de dentelle blanche. Il était émerveillé par son corps, gracieux et fin et apprenait chaque courbe des yeux avant de la ramener vers lui et de la dévorer pour de bon. Ses baisers se faisaient plus intenses au fur à mesure qu’il descendait vers sa gorge, traçant avec sa langue les longueurs de ses clavicules, plantant ses dents de temps à autre dans la chair de ses épaules.
Doucement, il remonta une main vers sa poitrine, l’effleurant à peine, puis il gagna un peu d’assurance et finit par la caresser avec prudence, tout en continuant sa route avec ses lèvres. Il glissa entre ses seins, jusqu’à son ventre avant de revenir vers son point de départ et s’intéresser de plus près à cette partie de son anatomie qu’il explorait du bout des doigts.
Cagalli se cambra vers lui en soupirant, visiblement ravie de ce qu’il lui faisait. Puis elle enroula ses bras autour de ses épaules, emmêlant ses mains dans ses mèches brunes. Elle adorait le contact de sa peau sur la sienne, ses lèvres sur cou et ailleurs. Elle n’en avait jamais assez. La chaleur dans son ventre augmentait et elle n’en pouvait plus d’attendre. Elle quitta ses cheveux un instant et concentra son attention sur sa ceinture, pour le débarrasser de tout vêtement encombrant.
Quand sa main frôla son entre-jambe, elle rougit, sentant contre elle son érection palpitante, mais elle sourit en voyant la réaction d’Asran. Bien que gêné lui-aussi par ce contact, il semblait apprécier le geste et elle se permit de continuer ses découvertes, tout en gardant à l’esprit qu’elle devait lui ôter son pantalon. Des ses épaules, elle apprenait la ligne de son dos, se délectant de chaque muscle avant de s’attaquer à ses fesses, rondes et fermes, qu’elle déshabilla avec le plus grand plaisir.
Sans réfléchir, Cagalli ôta d’un seul geste tous les vêtements qu’il lui restait, laissant Asran complètement nu sur le lit. Rougissant une fois encore de sa propre hardiesse, la princesse n’osa pas lui faire face, mais ne pouvait non plus baisser les yeux et être confrontée à son sexe.
Voyant sa gêne, le pilote l’embrassa à nouveau et très lentement fit glisser lui aussi son dernier rempart contre la nudité avant de l’attirer contre lui.
Instinctivement, Cagalli plaqua son ventre contre le sien et sans s’en rende compte, elle enroula une jambe autour des siennes. Elle cachait ses joues en feu dans son cou, mordillant sa nuque avec tendresse. Asran prit son mouvement pour une invitation et remonta sa main sous sa cuisse, à la découverte d’un territoire inconnu. Plus il s’approchait, plus sa peau devenait fine et chaude, et il sentait son cœur battre de plus en plus fort dans ses doigts.
Quand il frôla les boucles blondes, la princesse ne put retenir un gémissement. Son souffle sur son cou lui indiquait qu’elle attendait et il continua son entreprise, découvrant un peu les replis de son intimité. Ses attentions si douces se firent plus insistantes comme elle réagissait de plus en plus, tremblante et vibrante sous ses assauts.
Il dévora ses lèvres avant de plonger ses doigts en elle, ne tentant plus face à la tentation. Il avait envie d’elle. Vraiment. Profondément. Violemment. Dangereusement.
Sa chair veloutée s’ouvrait pour lui, le laissant généreusement entrer en elle. Il étouffa ses soupirs dans ses baisers et s’activa à lui plaire.
Il caressa lentement les parois juteuses qui s’offraient à lui et trouva facilement les points sensibles sur lesquels insister.
Cagalli frémissait grâce à lui et lui accordait l’accès total à son corps. Il allait et venait en elle sans contrainte, ne se limitant qu’à ses gémissements de plaisir pour savoir comment continuer. Elle le serra contre elle, plantant ses dents dans son épaules pour ne pas hurler quand il appuya sur ce point précis dans son ventre qui réveillait en elle des sensations inconnues et pourtant délicieuses. Elle ne résista pas longtemps. Elle le voulait. Plus que tout au monde.
Mais il continuait à la caresser, jusqu’à ce qu’elle perde complètement la tête. Il écoutait sa respiration s’accélérer et suivait son rythme, regardant avec plaisir sa princesse sombrer. Elle trembla un peu, haletante, puis se resserra autour de ses doigts, dans une explosion de délice. Elle était battue, incapable de bouger, satisfaite et pourtant pas encore tout à fait rassasiée.
Sans prendre le temps de savourer son orgasme, elle attira Asran contre elle, et dès qu’il retira sa main d’entre ses jambes, le fit rouler sur elle. Le pilote ne se fit pas prier et s’enfonça doucement en elle. Il avait craint de lui faire mal, mais au contraire, il ne lui procura qu’un immense sentiment de plénitude. Elle ouvrit enfin les yeux et lui sourit.
Elle était encore plus belle maintenant, les cheveux ébouriffés et le souffle court. Cagalli l’embrassa et sans comprendre ce qu’elle faisait, fit jouer ses hanches vers les siennes, dans une danse langoureuse qui les transporta tous les deux vers l’extase.
Asran se perdait en elle, le nez toujours au creux de son cou, la serrant contre lui comme si sa vie en dépendait. Il gardait son rythme, fusionnant avec elle pour un plaisir mutuel sans précédent. La chaleur les unissait et les rapprochait un peu plus à chaque coup de bassin et bientôt, ils furent submergés, emportés par les vagues de bonheur.
Ils restèrent longtemps enlacés, en silence, profitant simplement de la présence de l’autre. Asran garda sa princesse dans ses bras en inversant leur position pour l’avoir sur lui. Cagalli en protesta pas et resta au chaud contre lui avant de sombrer lentement vers le sommeil.
Asran resta à la regarder, émerveillé de l’avoir près de lui. Cagalli était là, dans son lit, bien réelle, et il venait de lui faire l’amour. Et même s’il en avait souvent rêvé, comme toujours, il était bien en dessous de la vérité.
Sa peau était douce et fine, exactement comme il l’avait imaginée et il ne pouvait s’empêcher d’en profiter et de la caresser. Elle avait un sourire heureux sur les lèvres, et il ne pouvait que l’imiter.
Elle était détendue et visiblement ravie, et il n’y était pas tout à fait pour rien.
Cagalli ouvrit les yeux et rougit. Elle avait pleinement conscience de sa nudité, et essaya de se couvrir un peu, mais Asran la retint en lui prenant la main. Il la fit rouler sur le dos et s’allongea sur elle, usant de tout son poids pour l’immobiliser. Puis il écarta une mèche rebelle et commença à lui mordiller l'oreille en murmurant : « Ce n'est pas la peine de te cacher... »
La princesse se sentit aussitôt submergée par sa chaleur et sans même prendre la peine de répondre, elle se retourna pour se retrouver au-dessus lui et prendre ses lèvres d’assaut.
Asran retint un sourire amusé devant son geste et la laissa faire à sa guise, trop content de renouveler encore l’expérience, surtout si cette fois c’était elle qui se chargeait de l’initiative. Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre ce qu’elle avait en tête et fut plus que ravi d’obtempérer.
Cagalli découvrait son corps avec la même application qu’il avait eu pour elle quelques heures plus tôt et s’efforça de rendre l’aventure aussi inoubliable que possible. Elle laissa de coté sa réserve naturelle et laissa libre cours à son imagination, profitant de chaque seconde pour mémoriser chaque parcelle son chevalier. Elle respirait son parfum, goûtait sa chair, lissait sa peau et n’en avait jamais assez. Elle le voulait encore en elle, comblant ce vide que lui seul semblait pouvoir calmer et il répondit avec plaisir à ses attentes, se perdant à nouveau dans son corps.
De toute la nuit, ils ne restèrent séparés que quelques heures, le temps de se remettre de leurs émotions par quelques instants de sommeil. Aucun d’eux ne voulait réellement dormir, préférant de très loin la compagnie de l’autre à l’isolement du rêve. Le leur était bien réel et demandait d’être pleinement éveillé pour en profiter.
Aux premières lueurs du jour, ils surent qu’ils devaient se séparer, mais ni l’un ni l’autre n’osait bouger.
Cagalli restait allongée sur lui, le visage enfoui au creux de son cou à écouter les battements de son cœur. Asran la tenait contre lui, caressant doucement ses cheveux en lui répétant inlassablement qu’il ne voulait pas la perdre.


Je reviens vite avec la suite, si ca vous plait toujours !!

te fatiques aps à mettre des avetiossement grande soeur ici tu trouves presque que des fan de lemon . Ne demande jamais l'histoire ave cous ans lemon? elles répondnet d'office avec! MDR toutes des perverses

ça me plaît ! *O*

Waouww, j'ai trop adoré !
Vive les lemooooooooooons ! >/////////<
XDDDDDDDDD

Perverse..et fière de l'être ! XD

trooop bienn :D xDD

waw c'est trop joli ! j'ai lu tout les chapitres et personnellement j'adoreeeeeeeeee ! *0*

trop bien !

j'adore, j'adore
c'est trop bien
vive les lemons